PADC : Juste Désiré Mondélé dans les détails !

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Face au Brésilien Marcos Athias Neto, directeur du bureau des politiques et d’appui aux projets du PNUD et son équipe, Juste Désiré Mondélé a exposé les grandes lignes du Projet d’accélération du développement communautaire (PADC) ; suscité la compréhension, la conviction du fonctionnaire des nations unies et sa suite, sur le bien-fondé de cette ambition dont la mise en œuvre réussie, révolutionnera le quotidien des citoyens.

Des détails ont été mis à la disposition des hôtes sur l’intervention et l’approche programmatique du PADC, des questions ont été suscitées sur la faisabilité et l’impact local du projet. Et, au finish, Juste Désiré Mondélé a obtenu de ses interlocuteurs, comme cela était déjà le cas pour les premières séances de travail, l’accord de principe, pour que le Congo et ses partenaires onusiens au développement local, avancent ensemble. Athias Neto et ses collaborateurs ont aussi compris que le volet portefeuille du PADC, regroupe 13 des 17 ODD impliquant le PNUD.

Au-delà, il a aussi été question de l’appui à l’approche climat, écologique…étant donné que le Congo et le Brésil présentent des similitudes géologiques, hydrographiques et géographiques, le Congo tirera profit de l’expérience brésilienne en la matière, y compris lors du sommet sur l’afforestation qu’il abritera en juillet.

Le ministre a été rassuré de la venue prochaine des experts à Brazzaville pour appuyer l’approche du PNUD dans le cadre du PADC. « On repart, réconforté », s’est rassuré Juste Désiré Mondélé.

Dès son retour, il va, « très rapidement avec la représentante du PNUD, relire, peaufiner tout et commencer à mettre en musique, ça va aller très. Vous venez, après les analyses et contributions, améliorer l’importance de ce projet transformationnel, transversal et holistique » ; leur a-t-il dit, convaincu que l’apport des experts chevronnés ayant fait leurs preuves ailleurs, au Chili, au Sénégal, en RDC…feront autant pour la République du Congo.

« Nous mettrons tout en œuvre pour commencer à mettre en place le PADC, afin qu’en 2026 quand on l’aura achevé, chacun appréciera comment le PADC aura « transformé le développement et l’économique locale », a conclu le ministre satisfait d’avoir atteint les objectifs de son séjour de travail aux USA.

Abibe Ayoka

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