République du Congo/Vie associative : Le président du comité d’organisation Précieux MASSOUEME a tenu le pari de l’organisation avec succès de la 2ème édition du BILYF !

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Du 28 au 30 mars 2024 s’est tenue à Brazzaville la deuxième édition de Brazzaville international leadership youth forum en sigle BILYF au palais des congrès sous la houlette du président du comité d’organisation en l’occurrence Précieux MASSOUEME. Si la première édition était une belle entrée en la matière, l’édition de 2024 a tenu toutes ses promesses à en croire plus d’un observateur. Elle a mobilisé plus de mille jeunes venus d’horizons divers quasiment de tous les continents et rassemblés pour discuter du rôle crucial de la jeunesse pour le développement des Etats africains.

 Des leaders de la crème juvénile, influenceurs de tout ordre, des personnalités de premier plan, des figures de proue de la diaspora, chefs d’entreprises de haut niveau et représentants de plusieurs organismes. Un rendez-vous de la jeunesse africaine qui a donné lieu à des échanges fructueux du donner et de recevoir autour d’une thématique adaptée au contexte : « l’agriculture et l’innovation au service du développement de l’Afrique ». A bâtons rompus avec une ébullition intellectuelle et l’effervescence d’expériences, plus de douze thèmes ont été débattus par des sachant et des jeunes imbus de management. Des témoignages clairvoyants comme celui de l’invité surprise, l’artiste célèbre musicien de la RDC, Fally Ipupa et sans oublier l’allocution historique de l’ex ministre française, madame Elisabeth MORENO, aujourd’hui présidente de l’ONG « Femme numérique ». Jamais une messe de la jeunesse congolaise n’a eu un écho pareil avec la recommandation de voir pérenne le BILYF et tous les regards croisés à 2025. Voilà en quelques mots en quoi consiste le BILYF. Et comme l’a souligné le président de l’Union panafricaine de la jeunesse que loin d’être un forum de trop plutôt un espace d’actions pour forger la solidarité et l’unité de l’Afrique de demain. Un cadre idéal où se forge l’élan de la jeunesse afin d’éviter d’être spectateur mais acteur pour influencer la gouvernance publique. Un engagement collectif pour booster le changement et construire l’avenir. Même si peu d’organes de presse ont relayé cet événement mais en ce qui nous concerne témoin de l’actualité, notre rédaction se fait le devoir de faire revivre ces grands moments à nos lecteurs.

 En effet, la 2ème édition du Brazzaville international leadership youth forum (Bilyf) s’est ouverte, le 28 mars dans la capitale congolaise, sous le signe de la mise en œuvre de l’innovation agricole dans le développement du continent par les jeunes, avec les jeunes et pour les jeunes.

Placée sous le thème « L’agriculture et l’innovation au service du développement de l’Afrique », cette édition a été une occasion pour la jeunesse africaine et sa diaspora de se réunir, d’échanger des idées et de trouver des solutions à ses multiples défis. Après le mot de bienvenue de l’administrateur maire de Ouenzé Marcel NGANONGO qui a eu les mots juste de circonscrire l’événement, le président du comité d’organisation du Bilyf, M. Précieux Massouémé, a exhorté l’ensemble de la jeunesse africaine à croire en son talent et en sa capacité à accomplir des choses extraordinaires. « En ce moment où le monde entier entre dans l’ère de l’agriculture 4.0, les jeunes férus de technologie peuvent jouer un rôle déterminant dans notre système alimentaire » a-t-il fait savoir. Pour le président de l’union panafricaine de la jeunesse, M. Moumouni Dialla, ce forum doit amener les jeunes à faire les recommandations appropriées pour aller de l’avant. « C’est de nous, les jeunes, que proviendra la solution aux problèmes de notre continent. Nous devons investir dans l’agriculture et l’élevage, et être des acteurs de transformation et d’innovation » a-t-il indiqué.

Selon M. Dialla, au lieu d’être un forum de plus, ces assises doivent marquer un nouveau départ dans le développement de la jeunesse du continent comme nous l’avions relevé plus haut. Quant à lui, le coordonnateur résidant du système des Nations unies au Congo, M. Chris Mburu, a réitéré son soutien auprès des jeunes qui font partie intégrante du programme de développement durable à l’horizon 2030. « Le système des Nations unies au Congo est disponible pour accompagner les jeunes. Des programmes de stages s’exécutent dans différentes agences. Cette expérience vous permettra de mieux connaitre l’Onu et les valeurs qu’elle véhicule », a-t-il expliqué. Le Bilyf a pour objectif d’inspirer, susciter des vocations et inciter les jeunes à l’action. L’animation de ces douze thèmes en panel était très enrichissante et enthousiaste.

Mahoro a dit, une figure emblématique dans le monde des médias :« Je suis ravi de participer en tant que panéliste à la 2ème édition du Forum International de Leadership des Jeunes de Brazzaville-BILYF !  Prenant la parole lors du panel : « Solutions numériques pour les défis sociaux et environnementaux. » comment la technologie peut ouvrir la voie à un avenir durable, en abordant les problèmes pressants de notre société et de notre environnement.

« J’appelle la jeunesse dynamique du Congo et de toute l’Afrique à une forte mobilisation autour de cet événement transformateur !  Ensemble, inspirons le changement, encourageons l’innovation et façonnons un avenir plus lumineux, » soulignait Wilfried ADINGRA, un panéliste PDG.

Cependant, en faisant l’économie des commentaires des expertises, quelques faits méritent d’être illustrés ici notamment la place de la diaspora et bien d’autres ont constitué l’épicentre des discussions. A la fin la deuxième édition a baissé les rideaux sur des résolutions et des recommandations.

 Au menu des panels, il faut rappeler que pour la diaspora soutenir des causes caritatives et développer des startups, créer des ponts. La diaspora africaine est un moteur économique vigoureux du continent. Les transferts de fonds personnels en soutien aux familles se chiffrent en dizaines de milliards de dollars. Hautement éduquée, elle s’implique de façon concrète dans toutes les sphères de la société, agissant comme maillon indéfectible entre l’Afrique et d’autres continents. Quels moyens la diaspora peut-elle continuer à mettre en œuvre en vue de pérenniser cette force collective qui lui est propre ? Comment mobiliser davantage une partie de la jeunesse africaine issue de cette diaspora ayant subi un déracinement culturel ? Profitez de cette opportunité pour échanger avec ces différents panélistes sur ces enjeux majeurs. Telle est l’une de grandes articulations du BILYF. Responsabilités croissantes, interminables, surmenages sournois.  Ces trois réalités se faufilent avec fougue dans l’aventure entrepreneuriale, et ce, sans crier gare. Malgré la passion qui l’anime, une personne entrepreneure peut aisément rester isolée dans un tourbillon étourdissant pouvant dramatiquement porter atteinte à sa santé. Comment faire face à ce poids invisible ? Quelles sont les ressources disponibles pour mieux concilier l’exigence que revêt le parcours entrepreneurial ? Ouverture, compassion, empathie : cette conversation propose de démystifier les tabous qui briment tant de gens et de vous conseiller sur des démarches à entreprendre pour vous épanouir pleinement.

En lumière par exemple, l’innovation dans l’agriculture : un moyen pour atteindre l’autosuffisance alimentaire. L’Afrique peut nourrir l’Afrique. L’Afrique peut nourrir le monde. Notre deuxième édition du Brazzaville International Leadership Youth Forum (BILYF) a mis en exergue la vision de cette table ronde. Comment l’agritech propulse-t-elle une révolution dans le monde agricole sur le continent ? Comment l’Afrique peut-elle développer des collaborations mutuellement bénéfiques à l’échelle du continent et à l’échelle mondiale en matière d’innovations technologiques afin qu’elles soient mises au service de la croissance économique et de l’amélioration des conditions de vie de sa population ? Explorons ensemble les derniers développements scientifiques et technologiques au sein de l’agriculture en Afrique.

D’autre part, maximiser le potentiel des femmes agricultrices et le développement des fermes familiales : Marginalisées dans le domaine de l’agriculture, les femmes représentent pourtant un potentiel inestimable au sein de cette industrie afin d’augmenter la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté. Il n’est bien documenté que la qualité de vie de leurs foyers s’en trouve bonifiée si elles bénéficient d’un meilleur accès aux terres et aux financements. Outils de développement social et d’émancipation tant personnelle que communautaire, les fermes familiales s’avèrent également un important levier de transfert de valeurs traditionnelles.

Par ailleurs, les industries culturelles et créatives comme vecteur de développement social et économique : Il est estimé que 20 millions d’emplois pourraient être créés sur l’Afrique au cours de la prochaine décennie dans le secteur des industries culturelles et créatives. Encore faut-il que des investissements majeurs y soient consacrés par des entités privées afin de dynamiser un écosystème pouvant attirer et retenir sur le continent une jeunesse africaine talentueuse et innovante. Comment préparer cette relève aux emplois du futur en développant des compétences numériques pertinentes ? Comment encourager et soutenir l’émergence de startups et d’entrepreneurs innovants dans les industries culturelles et créatives en Afrique ?

Aussi, il y a eu la proposition des solutions numériques pour les défis sociaux et environnementaux : comment les technologies numériques peuvent-elles être utilisées pour relever des défis tels que l’accès à l’eau potable, la gestion des déchets et les problèmes liés au changement climatique ? À ce propos, il est impossible de passer sous silence la conscience verte à l’égard de l’émergence de nouvelles technologies qui façonneront l’avenir de la connectivité en Afrique. Plongez au cœur de cette discussion avec des actrices et acteurs de changement qui bouleversent le statu quo en vue d’optimiser la transformation structurelle au niveau du développement économique et social sur le continent.

On peut noter également, l’agriculture en Afrique face aux défis du réchauffement climatique : les changements climatiques bouleversent nos sociétés à la vitesse grand V. C’est donc sans contredit que la production agricole en Afrique en paie le prix fort. Quels défis se posent pour les petites entreprises et les producteurs indépendants en cette ère de mondialisation en constante accélération ? Quelles bonnes pratiques et innovations déployées sur le continent contribuent à transformer les procédés en agriculture, que ce soit à petite ou à grande échelle ? Comment soutenir une jeunesse africaine assoiffée d’apporter sa brique à l’édifice ? Voilà autant de questions qui ont nourri les conversations avec nos panélistes.

Puis, l’agriculture et le réchauffement climatique : ce grand bouleversement, les régions agricoles qui sont semi-arides restent fortement vulnérables. La démarche nécessite un coût que les agriculteurs ne peuvent assumer. De plus, l’adoption de nouvelles pratiques (qu’elles soient culturales ou autres) exige assistance, financement et changement de comportement. Les conséquences peuvent être dramatiques sur le long terme : plus de pertes dans les rendements agricoles, plus d’endettement et, finalement, l’exode rural. On pourrait dire que les agriculteurs de la plaine doivent compter sur leurs propres forces pour faire face aux nouvelles conditions climatiques. Ce défi est de taille notamment dans cette région périphérique à l’écart du développement national dans un système administratif par exemple libanais très centralisé.

Enfin, de la terre à l’assiette : transformation agricole et opportunités pour les jeunes ; le dialogue intergénérationnel sur l’importance de passer le flambeau. Autant des thèmes qui ont suscité de grands centres d’intérêt et alimentés les débats au cours de ces trois jours.

Dans un contexte où l’Afrique cherche des solutions durables pour son développement, le Brazzaville International Leadership Youth Forum (BILYF) émerge comme une plateforme incontournable. La deuxième édition de cet événement, réunie des esprits brillants et des décideurs engagés venus des quatre coins du continent du 28 au 30 mars 2024.

Sur la volonté des organisateurs à positionner la jeunesse présentée comme le levain qui favorise le développement d’une société, autour d’une plateforme inclusive permettant d’aborder efficacement les défis du développement sur le continent et faire converger les orientations et les actions à travers une Convention de partenariat solide et durable.

Pour cette édition 2024, il s’agissait, entre autres, de mettre en lumière le rôle crucial de la jeunesse africaine dans l’amélioration de la productivité agricole du continent et dans la transformation du secteur agricole. À travers des panels de discussion soigneusement élaborés, des ateliers hautement interactifs et des conférences foncièrement inspirantes, ce forum fédérateur a réuni des leaders du continent et de sa diaspora dans un espace propice aux échanges d’idées. Mieux, l’encouragement à l’entrepreneuriat agricole, la création d’emploi et la promotion de partenariats entre les jeunes et les acteurs de l’industrie agricole, sont autant de segments à explorer afin de catalyser l’innovation et accélérer le progrès « vers une agriculture plus productive, durable et résiliente en Afrique ». En tant que moteurs du changement et de l’innovation, les jeunes ont la capacité de « relever les défis actuels en apportant de nouvelles idées, des compétences technologiques novatrices et une vision audacieuse pour l’avenir de l’agriculture africaine ».

BILYF 2024 a permis également de répertorier les obstacles rencontrés dans l’industrie agricole à l’instar du défaut d’accès aux intrants, aux technologies et aux services de conseils. Les jeunes entrepreneurs agricoles sont ainsi appelés à développer des solutions innovantes pour faciliter l’accès des agriculteurs à ces ressources. Leur intelligence collective se veut également un puissant atout en vue de créer des plateformes numériques centralisant des informations fondamentales sur les pratiques agricoles efficaces et les systèmes de gestion durable. Ces initiatives numériques seront particulièrement bénéfiques pour les agriculteurs des zones rurales éloignées, où l’accès à l’information est souvent limité. De plus, la relève entrepreneuriale africaine détient un fort potentiel de s’illustrer à l’échelle globale en stimulant la recherche et le développement agricole grâce à des collaborations porteuses d’innovation avec des institutions académiques et des organisations de recherche.

Le Bilyf 2024 a connu la participation de nombreux jeunes venus de plusieurs pays africains ainsi que de la diaspora qui se sont réunis en ateliers et ont suivi des communications autour de huit panels. Il s’agit, entre autres, de « L’agriculture en Afrique face aux défis du réchauffement climatique » ; « De la terre à l’assiette : transformation agricole et opportunités pour les jeunes » ; « Maximiser le potentiel des femmes agricultrices et le développement des fermes familiales ». A l’issue de trois jours des travaux, les participants ont recommandé aux gouvernements davantage de proximité et de formations, notamment dans les domaines agricoles pour les jeunes ainsi que des mécanismes d’accompagnement permettant de développer une chaîne de valeur pour mieux exploiter les terres arables disponibles sur le continent. Ils sollicitent également le financement des initiatives des jeunes et des entreprises innovantes, l’accès à l’éducation inclusive et de qualité qui répond aux besoins des marchés locaux ainsi que des formations techniques et professionnelles garantissant aux jeunes les compétences correspondant aux besoins du développement de leurs pays et du continent. « Nous invitons les acteurs du secteur privé à créer des passerelles pour favoriser l’apprentissage des jeunes en entreprise, tout en leur offrant des chances d’accès aux premiers emplois ; à accompagner à travers les programmes de conseil et de suivi ou de mentorat des jeunes entrepreneurs. Nous demandons à tous les partenaires au développement de s’engager de façon novatrice auprès des jeunes des tissus associatifs afin de construire des programmes correspondant aux aspirations et aux besoins de la jeunesse africaine », ont-ils exhorté dans le communiqué final. Matérialiser les résolutions du Bilyf 2023 : s’agissant des résolutions, les participants se sont engagés à œuvrer solidairement pour contribuer au développement du continent et de leurs pays respectifs à travers les différentes initiatives visant l’autonomisation de la jeunesse ; à promouvoir et soutenir les talents et l’innovation des jeunes africains. Ils ont aussi pris l’engagement de mobiliser les partenaires institutionnels et financiers pour la création du fonds d’appui pour l’autonomisation de la jeunesse ; de travailler avec l’ensemble des acteurs pour mobiliser les ressources et matérialiser les résolutions du Bilyf 2023 restantes. Il s’agit notamment de mettre en place un programme de mobilité pour la jeunesse, notamment le Bilyf tour ; lancer le prix de la jeunesse africaine visant à encourager les jeunes à être les véritables acteurs du changement et susciter les jeunes à l’action ; lancer la campagne digitale : « Nous sommes la jeunesse africaine » ; mettre en place un incubateur de leadership et lancer des formations continues visant à renforcer les capacités des jeunes.

« Nous reconnaissons la nécessité d’apporter notre pierre à l’édifice dans la construction de l’Afrique que nous voulons porter par l’agenda 2063 de l’Union africaine d’ici à l’horizon 2050, ainsi que la pertinence de la question du leadership des jeunes et leur autonomisation pour le développement de l’Afrique. Avec plus de 75% de 1,5 milliard d’habitants de l’Afrique âgés de moins de 35 ans, il y a urgence d’investir dans l’éducation et la formation, la santé et la création d’emplois ; briser les barrières à la participation et l’inclusion significative des jeunes pour permettre à l’Afrique de jouir des fruits du dividende démographique », a souligné Vanessa Metou à qui revenait la charge de lire le communiqué final. Clôturant les travaux, le président de l’Union panafricaine de la jeunesse, Dialla Mamoni, a encouragé l’initiateur du Bilyf, Précieux Massouémé, qui fait désormais, selon lui, partie des acteurs œuvrant pour la construction de l’Afrique. « Nous devons apprendre à magnifier, à célébrer les êtres qui posent des actes positifs de leur vivant. « Nous exhortons la jeunesse africaine à la mutualisation des initiatives afin d’assurer l’éclosion du secteur agricole », a-t-il conclu.

Pilotée par Précieux Massouémé, président de BILYF et président du Comité d’organisation, la deuxième édition de BILYF vient de connaitre   un succès retentissant et redonner confiance et estime. Elle avait pour but de créer les conditions propices à l’émergence d’un tissu juvénile et associatif fort qui puisera les ressources nécessaires à son développement sain, loin de la déviance et des extrémismes auxquels une jeunesse « abandonnée » et victime d’agressions médiatiques et idéologiques néfastes peut facilement se laisser aller et être démissionnaire.

 Ainsi avec une cinquantaine d’éminences grises qui font la fierté du continent, BILYF a réussi le pari de réunir la jeunesse autour d’une plateforme inclusive permettant d’ «aborder efficacement les défis du développement des jeunes en Afrique ; discuter des stratégies visant à améliorer la condition des jeunes ; encourager l’engagement actif des jeunes dans la gouvernance, l’entrepreneuriat, le leadership politique et la prise de décision et inspirer, susciter des vocations et inciter les jeunes à l’action ». Le rendez-vous a donc été pris pour BILYF 2025. Se veut un événement d’envergure qui va rassembler un florilège d’intervenants de haut vol venant de tout le continent africain et de domaines d’expertise riches et variés, à l’instar de Konnie Touré, Philomé Robert, Paul Evra, Naïr Abakar, Stéphane Tiki, Patrice Anato, Linda Kabombo, Ange Jessica Loumeto-Ndouzi, Claudia Senghor Sidney Kombo-Kintombo et bien sûr des participants venant de l’Afrique du Nord, de l’Afrique australe, de l’Afrique centrale, de l’Est et de l’Ouest. Ce public jeune, ces participants dynamiques ont bien ont partagé leur savoir-faire, créer des synergies autour des travaux très enrichissants. Les jeunes ont assisté à cet événement, s’abreuvé à la source des savoirs, d’expériences multiformes et bénéficié d’une plateforme physique de réseautage. Tout le monde a souhaité et encouragé le président Précieux Masouémé et l’ensemble de ses bénévoles à poursuivre cette initiative et déjà entrevoir la prochaine édition de 2025. Ça y est et félicitation pour cet acte de portée internationale et de fondement de la solidarité africaine. D’ailleurs, il faut noter que pour une fois Brazzaville a été la capitale pour la circonstance de la jeunesse africaine et de sa diaspora. Ce n’est pas rien quand on sait que les frondeurs n’y voyaient que du vent !

Abibe Ayoka

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